LA MALADIE DE STRÜMPELL-LORRAIN, PARAPLEGIE SPASTIQUE FAMILIALE
 
 

"La maladie de Strümpell-Lorrain est une affection dégénérative, presque toujours héréditaire, touchant la moelle épinière et, éventuellement le cervelet. C'est une hérédo-dégénérescence spino-cérébelleuse caractérisée par une paraplégie d'évolution progres-sive. Elle peut commencer à tout âge, dans les deux sexes, révélée par des troubles de la marche. Cette maladie recouvre en fait plusieurs affections ou "formes" dont l'identification fait l'objet de recherches actives. D'évolution et de gravité très variable, elle est souvent compatible avec le maintien d'une activité professionnelle et elle n'entame pas l'espérance de vie."
Pr Alexis Brice
 

* QU'EST-CE QUE LA MALADIE DE STRÜMPELL-LORRAIN ?

Une forme de cette paraplégie progressive a été décrite par Strümpell en 1880, puis Lorrain en a fait une thèse en 1888. Elle est caractérisée par la prédominance de l'atteinte pyramidale (motricité volontaire). Cette maladie neurologique à expression neuromusculaire est rare : sa fréquence est estimée à 1/30000,(environ 2 000 personnes en France), mais on ignore encore son mode de répartition et elle reste assez souvent inaperçue ou non diagnostiquée. Elle serait plus fréquente dans les pays nor-diques.

Il existe une forme "pure", et une forme "plus" ou "compliquée". On rencontre quelques fois une expression fruste, où les symptômes, très légers, ne sont pas décelables sans un examen clinique attentif.

Le type compliqué s'exprime souvent sous des formes intermédiaires rejoignant d'autres hérédo-dégénérescences spino-cérébelleuses.

A l'étranger, on la nomme "Familial Spastic Paraplegia", ou "Hereditary Paraparesis.
 

* COMMENT SE MANIFESTE-T-ELLE ?

La caractéristique principale est la grande variabilité d'ex-pression, tant intra qu'inter-familiale.

L'âge de début est très inconstant. Classiquement les formes précoces (début avant 35 ans, ou type I), sont distinguées des formes tardives (début après 35 ans, ou type II). Cependant cette classification clinique ne repose pas sur des bases génétiques. De plus le type dit tardif montre quelquefois des signes avant-coureurs longtemps avant le "début".

C'est un trouble de la marche qui révèle l'affection, mais il est difficile de repérer le moment exact où il commence. La spasticité s'installe insidieusement et s'exprime généralement dans les muscles locomoteurs. Cela se traduit par une "raideur", un manque de souplesse : les pieds ont tendance à racler le sol, à buter contre les aspérités.  Puis la fatigabilité s'accroît et la marche devient laborieuse: fauchage, steppage, marche en ciseaux, progression saccadée, les genoux semblent partir en arrière, en recurvatum. Un déficit  musculaire plus ou moins important affecte l'ensemble des muscles des membres inférieurs. Une hypertonie spastique (raideur) prédomine sur les muscles extenseurs (d'où une plus grande difficulté à descendre qu'à monter), puis le périmètre de la marche se rétrécit et la course devient impossible.

L'évolution est généralement plus sévère chez les malades dont les premières manifestations sont tardives. Le tonus musculaire est souvent normal au repos. C'est la tension, le froid, le stress ou la fatigue qui déclenchent la spasticité. On trouve aussi des réflexes ostéo-tendineux vifs et diffus aux membres inférieurs, et c'est d'ailleurs un signe diagnostique.

On peut dire de la spasticité que la commande de contraction est reçue anarchiquement et continuellement par tous les muscles moteurs alors que les muscles antagonistes devraient se détendre pour permettre l'avancée de la jambe par exemple. Cela peut expliquer le surcroît de fatigue, certains muscles travaillant beaucoup plus pour compenser deviennent hypertoniques, la démarche saccadée peut aussi en résulter, mais souvenons-nous que ce symptôme peut s'exprimer sous diverses formes.

Dans les formes très précoces, on peut enregistrer un retard à la marche, une tenue sur la pointe des pieds, (équinisme), des genoux qui ont tendance à se rapprocher.  La mise en train le matin est parfois difficile dans la forme juvénile et on observe, plus rarement, des signes dans les membres supérieurs, des fibrillations musculaires, des secousses dans les bras, un ralentissement dans les mouvements des doigts. L'évolution peut rester stable. Par ailleurs, cyphoscoliose, pieds creux, problèmes de sphincters et plus rarement sexuels ou cardiaques sont parfois associés.
 

Les formes complexes se manifestent sous divers aspects. Les difficultés suivantes peuvent être présentes, variablement associées : neuropathie (atteinte des nerfs périphériques), atrophie optique (nerf de la vision), dysarthrie, syndrome cérébelleux, retard mental, confusions, rétinite pigmentaire, épilepsie, démence ...

Le diagnostic médical est souvent très difficile : l'Imagerie par Résonance Magnétique (IRM) ne montre qu'une atrophie médullaire ou cérébelleuse modérée et isolée, les explorations électro-physiologiques (potentiels évoqués) révèlent des anomalies fréquentes mais peu spécifiques. Le caryotype est aujourd'hui encore trop global. Seul un examen neurologique attentif avec une enquête familiale approfondie peut affirmer le diagnostic et déterminer la forme de la maladie. Enfin certains symptômes (les pieds creux et les réflexes vifs) peuvent être la seule expression de la maladie, dont la gravité et l'évolution peuvent rester peu significatives.
 

* QUELLE EN EST LA CAUSE ? COMMENT EST-ELLE TRANSMISE ?

Toutes les formes de la maladie ont en commun une dégénérescence du faisceau pyramidal (voie nerveuse motrice située dans la moelle épinière), dont l'origine reste inconnue. Leur mode de trans-mission est hétérogène :

 - autosomique dominant (environ 70% des cas), c'est-à-dire que l'anomalie génétique est portée par les chromosomes non sexuels, que chaque génération peut être touchée quel que soit le sexe.  Le risque statistique est ici de 50 %.

 - la transmission autosomique récessive est plus rare (moins de 20% des cas). Ici chacun des deux parents est porteur sain et leurs enfants ont un risque sur quatre d'être atteints, et la génération suivante sera vraisemblablement épargnée. Cette hérédité résulte souvent d'une union consanguine.

 - Quelques rares cas de paraplégie spastique relèvent d'un mode de transmission lié au chromosome X. Les femmes porteuses de l'anomalie génétique ne manifestent généralement pas la maladie mais elles peuvent en présenter quelques signes discrets. Elles peuvent la transmettre à leur descendance, une fille a autant de chances d'être épargnée que d'être porteur sain, un garçon sur deux va exprimer la maladie.

 - Enfin les cas isolés ou sporadiques sont difficiles à classer : il pourrait s'agir d'une des formes nommées ci-dessus, ou de formes non génétiques (phénocopies). Il semblerait y avoir aussi des néo-mutations génétiques ; c'est dans ces formes que les explorations neurologiques sont les plus utiles pour différencier la maladie d'une autre pathologie proche.
 

* COMMENT EVOLUE-T-ELLE ?

Dans la forme juvénile l'évolution est très lente ou stationnaire. Peu à peu les possibilités locomotrices vont diminuer voire disparaître. Dans la forme tardive et compliquée, l'évolution est variable mais régulière, et suffisamment lente pour laisser les compensations s'installer, pour que la personne concernée puisse s'adapter. Le syndrome pyramidal (déficit, raideur),  qui s'accen-tue lentement, gêne de plus en plus la marche puis affecte parfois les membres supérieurs après plusieurs années.

Cependant la grande variabilité interindividuelle de la maladie empêche d'établir des pronostics fiables.
 

* QUEL ACCOMPAGNEMENT PEUT-ON PROPOSER ?

Les traitements actuels sont uniquement d'ordre symptomatique.

L'attention portée à son corps, la connaissance de sa propre santé, l'auto-examen permettent une prise en charge individualisée par le malade et sa famille.

La rééducation vise à favoriser la commande motrice volontaire, à inhiber la spasticité, à éviter/corriger les déformations articulaires. Il importe d'éviter l'apparition de contractures, de ne pas laisser s'installer des déformations qui peuvent devenir douloureuses. Les séances de kinésithérapie, fréquentes et régulières, appliqueront la technique de Bobath par exemple : étirements doux, lents, progressifs, puis maintien en position d'étirement, ou encore la mobilisation du pied creux. Il ne faut en aucun cas un renforcement musculaire des membres inférieurs, ne jamais atteindre le seuil de la fatigue, ce qui déclenche la spasticité. Les techniques efficaces sont les étirements des muscles hypertoniques, qu'elles soient appliquées par le kinési-thérapeute ou réalisées à domicile.

La spasticité peut aussi être réduite par les médicaments myorelaxants, ou par des techniques médicales locales (injections intra-musculaires de toxine botulique, ténotomies),  avec des résultats divers.

Il faut souligner l'importance du psychisme, de la paix, du calme. La sophrologie, la relaxation, le yoga peuvent être intégrés à la vie quotidienne. Les activités professionnelles doivent être adaptées. Le fauteuil roulant, s'il est utilisé, apparaît comme un moyen d'autonomie et de confort. La piscine est très profitable(beaucoup de malades préfèrent une température chaude).

Les cures thermales semblent aussi à pratiquer pour leurs bienfaits sur la spasticité, pour la détente qu'elles peuvent apporter.

La médecine fonctionnelle est devenue réellement efficace aujourd'hui. Les avancées récentes, notamment en urologie, réduisent le handicap et améliorent le confort de vie des malades.

L'aménagement des conditions de travail semble avoir une grande importance : il importe de garder une activité professionnelle en évitant la fatigue et le stress.

Enfin l'Association milite pour que ses adhérents atteints deviennent acteurs de leur santé et se prennent en charge.
 

* LA RECHERCHE.

En 1993 et 1994, plusieurs découvertes sont faites en France et aux Etats Unis. Pour la forme pure et juvénile à transmission autosomique dominante, un gène responsable est localisé sur le bras court du chromosome 2, un autre sur le bras long du chromosome 14, un autre sur le chromosome 15. Celui du chromosome 2 semble souvent présent également dans le type tardif, on en conclut qu'il est majoritaire. En fait 40 % des familles atteintes semblaient liées au chromosome 2. Dans les formes pures à transmission autosomique récessive, on a repéré un gène de la maladie sur le chromosome 8 et il y en a vraisemblablement d'autres. Pour la forme liée au chromosome X, deux gènes sont identifiés en Xq21-q22.

Pour plus de précisions, on peut se référer au site Internet suivant :
http://www.neuro.wustl.edu/neuromuscular/spinal/fsp.html

En 1996 une étude médicale plus précise analyse la forme SPG4 (liée au gène du chromosome 2) de la paraplégie spastique à transmission autosomique dominante. C'est le premier phénotype du genre. (Phenotype of autosomal dominant spastic paraplegia linked to chromosome 2, A. Dürr et Al., Brain, 1996,119,1487-1496.)

La recherche est aujourd'hui sur la voie de l'identification de ces gènes, ce qui permettra une meilleure approche du dysfonction-nement biologique, un diagnostic prédictif et anténatal plus fiable, et à plus long terme, une ouverture vers la thérapeutique.

Au début de l'année 1997, au moins deux équipes médicales entreprennent des études sur des symptomes spécifiques : les troubles urinaires ou les troubles de la posture.
 

* L'ASSOCIATION STRÜMPELL-LORRAIN.

Créée en 1992 dans une famille atteinte, elle s'est donnée comme objectifs l'entraide, l'action sociale, l'encouragement à la recherche en Génétique, le dépassement de la maladie puis sa disparition. Ses moyens sont des points de référence dans les grands hôpitaux et une revue trimestrielle interne à l'Asso-ciation. Des réunions sont organisées régulièrement.

Les perspectives sont de pousuivre le regroupement des familles concernées (on en connaît 350 à ce jour (90 % en France, 10 % dans le reste du monde), de devenir un interlocuteur représentatif vis à vis des Pouvoirs Publics, de suivre et stimuler les programmes de recherche vers l'identification des gènes mutés puis vers la thérapeutique.

La France est couverte par un réseau de 19 délégations régionales dont le but est de sensibiliser les institutions et d'entretenir le contact avec les malades. Attachée à la grande famille des hérédo-dégénérescences spino-cérébelleuses, l'A.SL est membre d'EURO-ATAXIA. Premier mouvement de malades atteints de paraplégie spastique, elle cherche la dimension internationale pour inciter les créations nationales. Elle est adhérente aussi à EURORDIS, mouvement européen rassemblant les maladies rares.

Un groupe de soutien s'est récemment constitué en Angleterre (Familial Spastic Paraplegia Support-Group), d'autres sont actuellement en projet en Italie et eu Portugal. Il n'y a pas encore de mouvement de ce type aux USA, les malades qui le désirent sont affiliés à National Ataxia Foundation par exemple. Enfin il y existe un groupe de discussion FSP sur Internet. Ce type de forum est en préparation pour la France et pour l'Europe, à l'initiative de l'A.SL.

Le projet en cours à l'A.SL est la réalisation d'un film présentant cette maladie rare et orpheline : "Les athlètes du quotidien". Consciente de son rôle de moteur européen, l'A.SL a déjà prévu des versions anglaises, allemandes et espagnoles de ce film et elle cherche des soutiens financiers…
 

* MEDECINS CHERCHEURS PROCHES DE L'A.SL.

 - Recherche génétique :
 

Dr Jamilé HAZAN, directeur de Recherches bio-moléculaires sur la maladie de Strümpell-Lorrain à Généthon.

GENETHON, BP 60, 1, rue de l'Internationale, 91002 Evry Cedex,
Tél : 01 69 47 28 00.
 

 - Centralisateur de l'aide associative à la recherche :
 

Fédération Française de Neurologie, représentée par le Dr Alexandra DÜRR, praticien-chercheur, plus particulièrement sur le plan clinique.

Centre hospitalier la Salpêtrière, 47 boulevard de l'Hôpital, 75651 Paris Cedex 13. Tél : 01 42 16 21 82.
 

- Consultations, hospitalisations et laboratoires de recherche :
 

Hôpital de la Salpêtrière, 47 boulevard de l'Hôpital, 75651 Paris Cedex 13. Tél : 01 42 16 21 82.

Pr Alexis BRICE, INSERM U 289, Laboratoire de Médecine Expérimentale.

Dr Bertrand FONTAINE, INSERM U 134, Neurobiologie Cellulaire, Moléculaire, et Clinique.

Dr Alexandra DÜRR, INSERM U 289.
Tél. (pour un rendez-vous) : 01 42 16 17 94.
     (pour parler aux médecins) : 01 42 16 21 82.
 

 - Laboratoire Génétique et Conseil Génétique :
 

Groupe Hospitalier Necker-Enfants Malades, 149 rue de Sèvres, 75743 Paris Cedex 15.
Département de Pédiatrie et Service de Génétique :

Pr Arnold MUNNICH, Chef de Service. Tél : 01 44 49 51 52
ou 01 44 49 51 53.
 

Pr Marie-Laure BRIARD, Centre d'informations Allo-gènes.
Tél : 0 801 63 19 20. (Ce numéro, au prix d'un appel local, est celui d'un service d'informations téléphoniques sur toutes les maladies génétiques.)
 

- Consultation et hospitalisation neurologique :
 

Centre Hospitalier Sainte-Anne, 1 rue Cabanis, 75014 Paris.
Centre Raymond Garcin :

Pr Jean DE RECONDO, Dr Catherine LAMY.

Rééducation-kinésithérapie : M. Jean-Pierre BLETON.
Tél : 01 45 65 82 78.

 - Médecine fonctionnelle :
 

CHU Saint Jacques, 25000 Besançon.

Dr Jean-Yves CORNU, Handicapologie. Tél : 03 81 21 80 45.

Dr Bernard PARATTE, Explorations Neuromusculaires.
Tél : 03 81 21 81 89.

CHU Jean Minjoz, 25030 Besançon, Pr RUMBACH, Neurologie.
Tél : 03 81 06 82 36.

CHU La Timone, boulevard Jean Moulin, 13005 Marseille.
Tél : 04 91 38 60 00.
Pr POUGET, Neurologie adultes ; Dr LIVET, Neurologie enfants ;
Dr PHILIP, Génétique.

CHU La Milétrie, 350 avenue Jacques Coeur, BP 577, 86021 Poitiers. Tél : 05 49 44 44 44.
Pr GIL, Neurologie adultes ; Dr LOISEAU, Neurologie enfants ;
Dr BONNEAU, Génétique.

CHU de Grenoble, BP 217, 38043 Grenoble Cedex 09.
Tél : 04 76 76 75 75.
Pr PERRET, Neurologie ; Pr LUNARDI, Génétique ;
Dr BORGEL, Neuroréadaptation ;
M. PINEL, masseur-kinésithérapeute, rue Blanchard, 38000 Grenoble.

Thermes de Néris les Bains : Dr OLLIER, Neurologie, 9 rue Saint Jean, 03100 Montluçon.  Tél : 04 70 64 71 60.
ou 3 rue du Dr Cabanel, 03310 Néris les bains.
Tél : 04 70 01 29 50.

CHU de Clermont-Ferrand, Hôtel-Dieu, boulevard Malfreyt, 63600 Clermont-Ferrand. Tél : 04 73 31 60 00 .
Dr FRANCANNET, Génétique.
 

* POUR EN SAVOIR PLUS.

Association STRÜMPELL-LORRAIN
9 bis rue Fabre, 25000 Besançon. Tél. et Fax. :
03 81 50 23 91.
 

Bureau national
- Président-secrétaire :  Philippe Grammont
- Vice-président :   Christian Reynaud                     Marie-Claude Berçot
- Trésorerie comptabilité :  Pierre Berçot
- Conseil technique :   Jean Benard
- Chargés de mission :
Cures thermale : Jean-Michel BennegentChristophe Biau
Organisation de l'assemblée générale et coordination des délégations :   Christian Reynaud
Vidéo :   Jean-Paul Kehr
 Rédacteur en chef du bulletin trimestriel :
Ph. Grammont
Délégations régionales
 - Alpes de Haute-Provence / Corse: Annie Van de Casteele      Danielle Foye               Jeannine Lee
- Alsace / Lorraine :   Jean-Paul Kehr        Jacques Miller
- Aquitaine :                    Sylvie Rodriguez      Yvan Descongles    Jean-Pierre Oronoz
- Auvergne / Limousin :   Christian Reynaud    Anne-Marie Bescond
- Bourgogne / Franche-Comté :  Danielle Maillotte      Nicole Schor
- Bretagne :    Yvon Le Minor
- Centre :     Franck Hérouard
- Champagne / Ardennes  :
- DOM / TOM :
- Languedoc / Roussillon :  Christophe Biau
- Ile de France :
- Midi / Pyrénées :   Madeleine Rezungles
-Nord / Picardie / Pas de Calais : Vincent Diligent
- Normandie :    M. Cuvillier
- Paris / Région parisienne :      Catherine Barrazza
- Pays de la Loire :
- Poitou / Charentes :
- Provence / Cote d'azur :
- Rhône / Alpes :             Gilbert Vigat         Catherine Darchez
 

Cette liste est à jour au 08. 03. 1998, des modifications interviendront le 30 mai prochain.
 

Ce texte a été rédigé le 08 mars 1998 par Philippe Grammont, président-fondateur de l'A.SL, dont l'adresse e-mail est :
  asl.asl@wanadoo.fr

http://www.infobiogen.fr/agora/associations/ASL